En général, les immigrants jouent un rôle important dans l’évolution de la main-d’œuvre au Canada. Ils constituent actuellement une part plus importante de la main-d’œuvre que par le passé. C’est particulièrement vrai dans le principal groupe de travailleurs âgés de 25 à 54 ans.
Les nouveaux immigrants du Canada sont également plus instruits que les cohortes précédentes. Par conséquent, ils ont tendance à avoir un taux de chômage plus faible qu’auparavant.
Canada Immigration Express a noté qu’au cours des cinq dernières années, la main-d’œuvre du Canada est maintenant plus instruite, plus qualifiée et plus diversifiée sur le plan racial. L’emploi d’un plus grand nombre d’immigrants au Canada a entraîné une croissance substantielle du pays. Par exemple, on constate une augmentation considérable du nombre de diplômés universitaires au Canada. Le nombre de personnes occupant des emplois professionnels en col blanc a également augmenté au Canada.
Raisons de l'augmentation du niveau d'éducation au Canada
Selon les rapports, les Canadiens sont devenus plus instruits entre 2016 et 2021. En 2021, environ 33 % des personnes en âge de travailler étaient titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme supérieur. Ce record serait supérieur de 4,3% par rapport au record du recensement de 2016.
Canada Immigration Express ajoute que les immigrants récents représentent près de la moitié de la croissance de la part des Canadiens titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme supérieur.
Selon le professeur Mikal Skuterud, économiste du travail à l’Université de Waterloo, la nouvelle tendance observée dans le dernier recensement est directement le résultat des réformes apportées au système d’immigration canadien en 2015. De nombreux autres économistes estiment que les Canadiens sont devenus plus instruits grâce à ces réformes.
Raisons de l'augmentation du niveau d'éducation au Canada
Ces derniers temps, davantage de personnes vivant au Canada ont fait des études supérieures en raison de la création du système d’entrée express. Ce système d’immigration a commencé à donner la priorité aux résidents permanents potentiels en fonction de leur niveau d’études postsecondaires. Il tenait également compte de leurs compétences linguistiques et de leurs années d’expérience professionnelle au Canada.